Capitolo 13 :: Prudence?

Pubblicato: 04-10-07 - Ultimo aggiornamento: 04-10-07

Commenti: Bouh, je ne suis pas gentille... Je suis désolée, mais la semaine est passée très vite, je pensais pas que j'aurais autant de boulot dans une école de commerce.... Mais il y a pire que moi... Des supers fics sont abandonnées par leur auteurs pendant des mois (oui JE CRITIQUE) pour le plus grand malheur de ceux qui suivent... Pour me faire pardonner un chapitre un peu plus long avec du sentiment et une touche de sadisme (fidèle à moi-même..) Merci pour vos rewiews qui me font toujours autant plaisir, et qui me pousse à finir cette histoire. Mais il doit rester au moins 5 à 6 chapitres... bises à tous... Continuer à m'envoyer vos impressions ou rewiews.. Je laisse planer le mystère, mais vous êtes sur une bonne piste, mais il manque quelques détails... (qui seront pour bientôt) Ouahh suspense, on pourrai penser à 24h chrono... ps le titre est un peu égnimatique, je ne savais pas quoi mettre, mais il correspond à la fin et au prochain chapitre... la suite pour bientôt...

Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22

Kaori venait de se réveiller. Elle regarda autour d’elle, et comprit qu’elle était dans le chambre de son partenaire. Puis elle regarda le radio-réveil posé sur la table de nuit… 16h30 Que faisait-elle au lit à cette heure-ci… Elle se leva précipitamment, et failli tomber… Elle avait mal à le tête et la bouche pâteuse… Comme une bonne gueule de bois… Pourtant elle n’avait rien bu… Enfin sauf un petit verre que son patron lui avait forcé à prendre… Elle l’avait trouvé louche, dès le début, il avait essayé de la saouler… Ah ce n’est pas du joli se dit-elle. Mais surtout qui l’avait ramené ? Cela ne pouvait pas être son patron…  

Ryô était en bas sur le divan, en train de lire des revues hautement intellectuelles (NDA si vous voyez le genre). Il fallait bien s’occuper silencieusement, pour ne pas réveiller Kaori. Mais surtout il essayait de faire semblant de s’occuper, pour mieux réfléchir (NDA : ah quel comédien…)… D’un côté il y avait des femmes mutilées qui travaillaient dans le même cabaret, et une inscription de 4 lettres, une signature… Et puis ces jeunes femmes ressemblaient un peu à Kaori… Simple coïncidence… Il se refusait à y croire, surtout après avoir récupérer Kaori, qui était droguée. Si elle ne l’avait pas bipée que se serait il passé ?? Il ne voulait pas y penser…  

Kaori prit une douche, pour se réveiller. Ryô, qui a entendu le son de l’eau, se leva d’un bond. Il se dirigea vers la porte de la salle de bain :  

- Kaori, ce n’est pas sérieux… Tu devrais rester couchée…  

- Mais non ne t’inquiète pas maman…  

Il campa devant la porte : maman ? Mais elle déraille vraiment, n’importe quoi… La porte s’ouvrit enfin et dévoila une Kaori en peignoir blanc, tout ruisselante : ne râle pas, tu vois bien que… Elle se cramponna à la porte…  

Ryô : bien sur que ça va, la preuve tu tiens à peine sur tes genoux… C’est vraiment parce que j’ai pitié de toi… Il s’avança pour essayer de la porter. En entendant ces mots durs, Kaori recula…  

Ryô : ne fais pas l’enfant, je ne vais pas te courir après. Mais Kaori continuait à reculer et fut prise d’un second vertige. Ryô réussit à la rattraper, et à la serrer contre son torse : tu ne me facilites vraiment pas la vie.  

Kaori le regarda droit dans les yeux : et toi ?  

Ryô ne savait pas quoi répondre. Au lieu de parler, avec des mots qui blesseraient encore une fois son ange, il préféra resserrer l’étreinte. Ses mains se resserrent sur les hanches de Kaori, qui s’abandonna, et soupira de satisfaction. Puis sans rien dire, il la porta jusqu’à sa chambre (le seul lit de l’appartement qui tient debout…). Il lui donna un t-shirt pour dormir : à ce rythme là je ne vais plus avoir de vêtements… pensa-t-il… (NDA normal, il ne sait pas à quoi ressemble une machine à laver, et Kaori doit aller travailler..). Il laissa Kaori dans sa chambre, pendant que lui regardait la télévision. Kaori s’endormit quelques instants.  

Elle se réveilla vers 18 heures. Elle se sentait beaucoup mieux. Elle se faufila pour prendre des affaires, et laissa un petit mot pour Ryô « sans Rancune, signé K). Et elle profita que Ryô était dans la cuisine et cherchait à faire à manger, pour sortir par l’escalier de secours. Elle se dirigea vers le cabaret, satisfaite d’avoir réussi à échapper à la surveillance de Ryô. D’ailleurs se dit-elle, il ferait un excellent père. Et elle commença à imaginer des enfants qui auraient les cheveux de Ryô et ses yeux… Quand elle sentit sur son épaule une main se poser :  

- déjà Ryô ?  

- Je t’ai laissé 2 minutes d’avance  

Elle sourit : bon alors tu m’accompagne ?  

- Ce ne serait pas raisonnable ?  

- Depuis quand tu l’es ?  

- Heu  

- Aller c’est mon travail, je vais y aller, avec ou sans ton accord…  

- Puisque j’ai le choix…  

- Tu vois Ryô tu deviens raisonnable  

Les deux partenaires se dirigèrent vers le cabaret sans dire un mot. La tension était palpable, Kaori pouvait sentir une certaine colère qui émanait de son partenaire :  

- Voyons Ryô, ce n’est pas si grave… Dans deux jours, ce sera fini… pense à tout ce qu’on pourra acheter. Je vais pouvoir avoir un beau lit neuf à baldaquin… Et toi bah ce qui te fait plaisir…  

Ryô réfléchit dans sa tête : ce qui me ferait plaisir ? Mmm Kaori, elle n’a pas de prix (NDA clin d’œil) il regarda Kaori :  

- honnêtement j’ai tout ce que je veux, tu n’as pas besoin de prendre des risques inutiles  

- ne t’inquiètes pas, c’est important pour moi de mener à bien ce travail. Bon je dois y aller…  

Elle posa ses lèvres sur la joue de Ryô. Puis elle dirigea cers l’entrée. Ryô l’appela : attend Kaori… Il s’approcha d’elle et posa ses lèvres sur les siennes. D’abord surprise la jeune femme mit ses mains autour de la nuque de Ryô, qui resserra l’étreinte. Ce baiser fut une preuve pour Kaori de l ’importance qu’elle avait pour son partenaire. C’est elle qui a regret se détacha lentement de Ryô :  

- je dois vraiment y aller  

- sois prudente  

- comme tu l’es…  

Ryô prit le poignet de Kaori et y déposa un léger baiser, presque chaste. La jeune femme partit, le sourire aux lèvres. Depuis bien longtemps elle n’avait pas été aussi heureuse. Ce baiser était une promesse, et Ryô avait intérêt à la respecter… Noyées dans ses pensées, Kaori ne vit pas le regard condescendant de Rose, et la surprise de Xavier. Elle se changea rapidement, et fut abordée par son patron :  

- Kaori vous allez mieux ? Je me suis beaucoup inquiété… Vous avez du faire une allergie à la vodka…. J’ai des amis à qui c’est arrivé… Mais l’important c’est que vous allez mieux.. D’ailleurs vous ne semblez plus stréssée, j’espère que vous n’avez pas oublié notre diner…  

- Ah heu bah…  

- Je vois, malheureusement je pars demain pour Londres, donc je ne pourrais pas plus tard… Nous avons des robes de soirées en stock… Nous dinerons dans un restaurant français, vous allez voir c’est succulent…  

Kaori n’avait pas le choix, si elle voulait cerner un peu mieux son patron il fallait accepter.  

Elle se dirigea vers les coulisses et se changea. Elle choisit une robe bordeaux, qui n’avait pas de bretelles, cintrée, et qui était fendue sur le côté (NDA sexy quoi...). Elle trouva les sous-vêtements adaptés, en remerciant sa chance, et mit derrière le bracelet, l’émetteur que Ryô avait fait glissé dans son sac. Au moins se dit-elle je suis prudente…  

Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22